ESPRIT DES GAZETTES

Numéro

0394

Titre(s)

Esprit des gazettes ou recueil des événements politiques et extraordinaires, qui ont pu fixer l'attention du public «avec une Table alphabétique raisonnée au moyen de laquelle on peut se retracer tous les articles principaux contenus dans ce volume. Tome premier contenant les mois d'avril, mai, juin, juillet, août et septembre 1780».

Modifications du titre : t. I, n° 1, Esprit de Gazettes. Feuille hebdomadaire idem en tête de chaque tome) ; n° 2, L'Esprit des Gazettes. Feuille hebdomadaire ; t. XXXIII, n° 1 : L'Echo des feuilles politiques et littéraires (28 janv. 1796) ; t. XXXIV, n° 1 : L'Echo des feuilles politiques et littéraires ci-devant Esprit des Gazettes juil. 1796).

Continué par Le Rapporteur, n° 1, 5 octobre 1797.

Titre indexé

ESPRIT DES GAZETTES

Dates, périodicité, privilège(s), approbation(s)

8 avril 1780 – 3 octobre 1797. 36 vol. Ni privilège ni prospectus.

Périodicité hebdomadaire (16 p.). A partir du 5 janvier 1788, ajout d'un supplément de 4 p. A partir du 3 juillet 1793, deux numéros par semaine (mercredi : 8 p. ; samedi : 16 p.). A partir du 28 février 1795, trois numéros par semaine (mardi, jeudi, samedi) de 8 p. chaque fois. L'Echo [...], même rythme ; 8 p. avec suppléments occasionnels.

52 livraisons par an en deux tomes, lorsque la fréquence est hebdomadaire. Nombre moyen de volumes par an : 2. Datation des volumes : tomes semestriels. T. I : avril-sept. 1780 ; t. XXXVI (41 numéros) : 1er juil. – 3 oct. 1797.

Description de la collection

Chaque tome, à pagination continue, est divisé en 26 numéros, lorsque la fréquence est hebdomadaire. A partir du 5 janvier 1788 (t. XVII, n° 1), apparition d'un supplément de 4 p., exceptionnel auparavant. Disparition de ce supplément régulier à partir du 3 juillet 1793.

Nombre de pages des volumes : 420 à 440 ; à partir du t. XVII (1788), environ 520 p. ; à partir du t. XXVIII, 1793, 630 à 660 p.

Cahiers de 16 p. initialement. Format in-8°, 110 x 176 (texte), 143 x 232 (feuille non rognée).

Illustration : frontispice au premier numéro de chaque tome : bandeau avec fleurons et liseré. Gravures : exceptionnellement (t. VI, n° 12 et 26).

Édition(s), abonnement(s), souscription(s), tirage(s)

[Louvain] puis [Bruxelles]. Louis-Joseph Urban, éditeur et imprimeur. «De l'Imprimerie de l'Esprit des gazettes» ; «De l'Imprimerie de l'Echo des feuilles politiques et littéraires» (28 janv. 1796) ; «Par et chez L.J. Urban, Imprimeur à s. Jose-ten-Nood, faubourg de Bruxelles», à partir du 31 mai 1796.

Prix de la souscription : 1789, 5 florins 5 s. de Brabant ; 6 juillet 1793, 6 florins 6 s. ; 1er octobre 1794, 20 £ de France ; 1er janvier 1795, 30 £ de France ; 1er mars 1795, 36 £ de France (frais de port évalués au cinquième du prix de la souscription) ; 1er avril 1795, 48 £ de France ; 10 octobre 1795, 5 escalins «pour trois mois pris à Bruxelles, six pour les autres villes de la France et des pays y réunis» ; 23 juin 1796, 6 escalins pour trois mois, «s'il ne survient pas de changement dans les frais de poste».

Souscription : «aux bureaux de poste, et à Bruxelles chez la citoyenne veuve Dewinne, près l'église de St. Jean, à Louvain chez Meyer sur le vieux marché ; à Courtray chez Gambar fils, libraire ; à Tournai chez Blanquart libraire ; à Namur chez la veuve Lambert apothicaire».

Tirage : vers 1797, 2500 ex. Prix des annonces (août 1796) : 2 s. la ligne.

Fondateur(s), directeur(s), collaborateur(s), contributeur(s)

Fondateur : Louis-Joseph URBAN.

Contenu, rubriques, centres d’intérêt, tables

Contenu annoncé : 20 octobre 1781, change des principales villes de commerce ; 5 janvier 1788, ajout de «petites variétés» ; «de nouvelles pièces fugitives, des poésies légères, soit fables, épigrammes, des anecdotes, quelquefois de petits contes moraux, enfin une liste des livres nouveaux qui paraissent». L'Echo décrets et pièces officielles, nouvelles nationales et étrangères.

Contenu réel : compilation de nouvelles du monde, prélevées dans des gazettes nationales et étrangères, cours du change (1781), anecdotes, logogriphes, calembours, énigmes, annonces littéraires (1788).

Tables intégrées à la collection : semestrielles (par tome). Retard dès décembre 1787. Le 3 janvier 1789 (t. XIX), les tables du t. XIV sont promises. Les tables semblent avoir cessé d'être dressées après le t. XVII (1788).

Historique

Louis-Joseph Urban, fils de Louis-François et de Jeanne-Marie-Alexandrine-Joseph Caniot, est né à Dinant (alors principauté de Liège, aujourd'hui province de Namur) le 2 août 1744. Il fit ses Humanités à Liège. Il est l'aîné d'une famille de six enfants. Son frère, Henri-Joseph, vit également le jour à Dinant, le 30 janvier 1752. Il eut lui aussi l'amour de l'art typographique. En effet, le 25 janvier 1781, le Conseil de Brabant l'admet comme «imprimeur et libraire en la province de Limbourg». Il exerça à Herve et à Tignée, avant de s'établir à Bruxelles sous le régime français. Cette similitude d'intérêts amena plus d'un auteur à confondre les deux personnages. Louis-Joseph avait précédé son frère de quelques années. En effet, le même conseil de justice l'avait reçu le 28 mai 1784 au titre d'imprimeur et libraire à Anvers. En 1777, il est établi à Louvain. A l'imitation sans doute de Esprit des journaux, il y lance le 8 avril 1780 Esprit des gazettes. La feuille n'est pas à confondre avec le Journal historique et politique des principaux événements du temps présent ou Esprit des gazettes et journaux politiques de toute l'Europe. Le journal, le deuxième à paraître dans la vieille ville universitaire, s'impose rapidement comme un concurrent de son devancier, le Wekeyks Nieuws uyt Loven, une feuille d'annonces. Le rédacteur de celle-ci, le notaire et procureur Jean-Baptiste Staes, ne sera pas le seul à s'acharner à la perte d'Urban. L'octroi exclusif du premier ne le protégeait pas à cet égard, puisque le contenu de Esprit des gazettes répondait à un autre objet. En outre, le rédacteur n'avait pas été soumis à la même obligation. Il exerçait sous le régime d'une permission confidentielle, assortie de la bienveillance du gouvernement. Devant ses échecs auprès des autorités, en 1782 et 1785, pour éliminer la publication d'Urban, Staes se place sur le plan de la concurrence commerciale. Cette dernière année, son Prospectus annonce qu'il publiera tous les sujets intéressants de Esprit des gazettes et de deux autres rivaux, Het Algemeyn Nieuwsblad et L'Indicateur flamand Indicateur intéressant de Malines ?). Déjà, en 1783, l'éditeur bruxellois de la Gazette des Pays-Bas s'était efforcé de faire interdire Esprit des gazettes. En 1785 encore, l'imprimeur Joseph Michel, jaloux du succès d'Urban, annonce une contrefaçon de son œuvre sous le titre Extrait des gazettes étrangères. Au même moment, le procureur général de Brabant est soucieux de protéger l'initiative d'Urban. Il constate en effet que Esprit des gazettes se débite avec le plus grand succès tant à l'étranger que dans le pays. Il avance la raison de la faveur du public : «ces sortes de productions, contenant tout ce que la plupart des gazettes françoises, angloises, allemandes et belgiques renferment de plus intéressant, suffisent pour mettre au courant des affaires publiques le grand nombre de personnes qui n'ont pas le loisir, les moïens ou les talens nécessaires pour suivre la lecture de la foule innombrable des papiers nouvelles». Parmi les journaux dépouillés figurent ainsi les gazettes «anglo-françoise et américaine», «angloise», de Haarlem, la Gazette d'Amsterdam, la Gazette d'Utrecht, la Gazette de Leyde, la Gazette de Cologne, le Courrier du Bas-Rhin, le Courrier de l'Europe, la Correspondance littéraire secrète et le Mercure de France. Chaque information reprise par Urban est suivie, les premières années au moins, d'un sigle permettant d'identifier l'origine de l'emprunt. En 1788, à nouveau, un rival, Boubers, réclame un octroi pour lancer un Magazin historique et politique ou Esprit de tous les journaux et Papiers nouvelles. Le pouvoir refuse de le suivre. A lui de «soigner sa feuille» pour soutenir la concurrence de Esprit des journaux et de Esprit des gazettes, dont la vogue est confirmée.

De tout ceci, il résulta cependant une contrainte nouvelle pour Urban. Comme ses confrères, il sera astreint à la censure ordinaire. En mars 1788, Charles-Joseph-Matthieu Lambrechts, professeur à l'Université de Louvain, futur ministre de la Justice sous le Directoire, se voit confier la tâche. En effet, note-t-on dans les sphères gouvernementales, «il jouit de la confiance du rédacteur et, par ce moyen, on peut employer celui-ci à insérer plusieurs pièces dans sa feuille, qu'il est intéressant dans ces circonstances de faire connoître au public». Le 6 septembre de la même année, Jean-Ferdinand Sentelet reprend le flambeau. Il est professeur à la Faculté de théologie puis enseigne au Séminaire général. Précisément, en 1787 déjà, Urban, pro-joséphiste, avait donné des gages au pouvoir à l'occasion de l'ouverture de ce dernier établissement. En effet, à la demande, il annonça une fausse nouvelle, l'arrivée en foule de séminaristes. En octobre de l'année suivante, l'imprimeur louvaniste Van der Haert veut, à son tour, lancer un journal concurrent. Il essuie un refus. En effet, constate le gouvernement, «il y a déjà une gazette flamande et une françoise par semaine dans la ville de Louvain. Les auteurs des deux feuilles ont beaucoup souffert pour avoir inséré des articles qui déplaisaient au parti des fugitifs. Ce seroit les punir au lieu de les récompenser que d'accorder la demande du suppliant».

Staes, en janvier 1789, déplore la perte d'abonnés. En juin 1789, sa feuille sombre. Urban opère un rétablissement. Fin octobre début novembre, la diffusion des nouvelles du pays reflète le virage prudent qu'amorce le gazetier. A la fin du mois, il change ostensiblement de cap. Le 12 décembre, jour de la retraite des Autrichiens de Bruxelles, il annonce «un exposé du véritable état des affaires». Le numéro du 19 contient un aveu et une promesse. Urban confesse que «sa plume a été enchaînée [...] par les agens du despotisme». A présent, «sous l'égide de la liberté, la vérité seule sera notre guide», poursuit-il. Un peu moins d'un an plus tard, une discrète modification correspond au nouvel air du temps. Le 27 novembre 1790, les nouvelles du pays sont encore publiées sous le titre d'Etats-Belgiques-Unis. Le 4 décembre suivant, elles sont à nouveau chapeautées par la mention «Pays-Bas autrichiens». La feuille reconquiert les faveurs du pouvoir. Lors de l'arrivée des troupes françaises, en 1794, un revirement de même nature accompagne le changement. Dès le 12 juillet, la mention «Belgique» remplace l'ancienne appellation, évocatrice de l'appartenance à la Maison d'Autriche.

Vers 1793, Urban transporte sa presse à Bruxelles. Le fait est en tout cas confirmé par la gazette elle-même, à la fin de 1794.

En janvier 1796, le Républicain du Nord attaque «la feuille chouane». En dépit d'une «exhortation fraternelle» des représentants Pérès et Portiez, «Monsieur Urban continue de distiller le venin le plus pernicieux». Il rapporte l'«insurrection de Genappe et des villages voisins», menée par Charles de Loupoigne. Il regimbe contre l'emprunt forcé. Bref, «une feuille qui empoisonne les contrées». Urban qui publie la diatribe se justifie à la suite : «presque tous les articles dont on me fait un crime sont littéralement extraits des feuilles indigènes et étrangères» (Esprit des gazettes, t. XXXIII, n° 9, 23 janv. 1796, p. 70-72). Dans le même numéro, il fait état d'un arrêté du département de Jemappes, par lequel sa feuille serait prohibée dans cette circonscription. Il n'en a pas eu la notification officielle. Quoi qu'il en soit, le n° 11, daté du 26 juin, est le dernier à paraître sous le titre habituel.

Le 28 janvier 1796 voit la sortie de presse du premier numéro de L'Echo des feuilles politiques et littéraires. Il s'ouvre sur un communiqué : «le Rédacteur de l'Esprit des Gazettes s'étant décidé à interrompre la publication de son ouvrage, on s'est déterminé à remplacer ce travail par la présente feuille. La marche que l'on suivra dans le plan sera à la fois simple et satisfaisante : on s'attachera principalement à recueillir les décrets du corps législatif, les arrêtés du directoire exécutif et toutes les pièces officielles de toutes sicles gouvernements, sur les matières essentielles à l'histoire. Les nouvelles nationales et étrangères y seront traitées avec soin, et de manière à ne rien laisser à désirer aux curieux». Le journal «sera fourni en remplacement aux souscripteurs à L'Esprit des gazettes dont on continuera le format, afin que cette nouvelle feuille puisse lui servir de suite». Du n° 54, daté du 31 mai 1796, il ressort qu'Urban a transporté sa presse à Saint-Josse-ten-Noode, faubourg de Bruxelles. Vers 1797, la publication est tirée à 2500 exemplaires. Elle «se répand avec beaucoup de succès dans ces départemens et principalement dans les campagnes», constatent les autorités. Le journal est surveillé. Le ministre de la Police reçoit ainsi une liste des «plus mauvais articles» parus dans les t. XXXV et XXXVI. Urban est victime de la loi du 22 fructidor An V, qui ordonnait la déportation des journalistes royaux. Il serait toujours détenu le 1er pluviôse An VII B.H.C., p. 83). Le n° 22, du 19 août 1797, est le dernier.

Le succès, sans doute, amène la fille d'Urban à poursuivre l'entreprise. Le premier numéro du Rapporteur porte la date du 5 octobre 1797. Selon le frère de Louis-Joseph, c'est vers ce moment que celui-ci cède tous ses biens à ses enfants. Marie-Catherine-Henriette, l'aînée, devient propriétaire et auteur du journal, toujours imprimé à Saint-Josse-ten-Noode. La feuille porte une devise, Uno avulso, non deficit alter, extraite de l'Enéide (livre VI, vers 143). «La citoyenne Urban s'étant apperçu que cet ouvrage étoit au-dessus de ses forces», son oncle Henri-Joseph rachète le journal. Il transporte l'imprimerie à Bruxelles, au Grand-Sablon. Son nom apparaît pour la première fois le 2 janvier 1798. Lui aussi allait avoir quelques difficultés. Le 14 pluviôse An V (2 févr. 1799), les scellés sont mis sur sa presse. L'épigraphe évoquée ci-avant en est la cause. La phrase avait irrité le ministre de la Police. H.-J. Urban dégage sa responsabilité, mais «intéressé à l'honneur de sa nièce», il fournit une explication. «Un rameau arraché, il en renaît un autre», vise l'arbre consacré à Proserpine, portant un rameau d'or qu'il fallait arracher pour pénétrer dans l'empire de Pluton. Dans le cas présent, écrit-il, la phrase «signifioit que les ennemis de la république avoient beau conspirer contre elle, elle sortoit toujours victorieuse des dangers où on l'exposoit, qu'on avoit beau arracher des rameaux de l'arbre de la liberté, qu'il en renaissoit à l'instant d'autres». Peu de temps après, un nouvel ennui surgit. Dans le n° 38 (8 germinal, 28 mars), Urban avait annoncé le débarquement de quelques Anglais à Blankenberge. Ceux-ci «y auroient enlevé des bestiaux qu'ils ont payé». Convoqué à l'administration du département de la Dyle, le gazetier ne peut fournir la source de son information, «de sorte qu'il y a lieu de croire qu'elle a été inventée par lui». Un arrêté du 9 germinal An VII, confirmé par le Directoire le 17 floréal de la même année, interdit la parution du journal (art. 35 de la loi du 19 fructidor An V). Les scellés sont apposés sur la presse le 11 germinal. Le dernier numéro, le 39e, est daté de la veille. Le 13 germinal, le Compilateur des nouvelles nationales, politiques et littéraires sort pour la première fois de presse. P.J. Brunelle s'en déclare le rédacteur. H.-J. Urban en est l'imprimeur. Il publie d'emblée une rétractation à propos du prétendu débarquement de Blankenberge. La parution de la nouvelle publication se poursuit jusqu'en 1810. Le décret impérial du 3 août de cette année met fin à son existence. En effet, il n'admet plus qu'un journal par département, «sous l'autorité du préfet». Le Compilateur cesse de paraître le 12 septembre 1810.

L.-J. Urban, présent à Paris en 1811, aurait voulu lancer une nouvelle gazette, sous forme d'une table des matières contenues dans les principaux journaux. L'indicateur général des Journaux politiques et littéraires de la capitale de l'empire français ne parut que sous la forme de numéro spécimen (B.H.C., p. 83). Louis-Joseph Urban décède à Saint-Josse-ten-Noode le 17 mai 1833 à 3 heures du matin, âgé de 88 ans 9 mois et 15 jours. Il est veuf de Anne-Marie-Vanderhaert. L'acte de décès le qualifie de rentier.

Localisation(s), collections connues, exemplaires rares

B.R. Bruxelles, VB 7847/3/1 (t. I à IV avec des lacunes) ; Stadsbibliotheek, Antwerpen, B 53106 ; B.N., G 23321-23327 ; B.M. Lille, 063379.

Bibliographie

B.H.C., p.82-83 ; H.G.P., p.541.

Bruxelles, Archives générales du royaume, Conseil privé autrichien, portefeuille 1066A ; Conseil de Brabant, n° 3680 ; Conseil du Gouvernement général, n° 2423, 2425 ; Département de la Dyle, n° 563. – Warzée A., Essai historique et critique sur les journaux belges, Gand, 1845, p. 20-23. – Puttemans A., La Censure dans les Pays-Bas autrichiens, Bruxelles, 1935, p. 165 et 311. – Nauwelaerts W., Bijdrage tot de geschiedenis van de pers in het arrondissement Leuven. Repertorium (1773-1914), Louvain-Paris, 1978, p. 30-37, 122-123. Sur H.-J. Urban : – Capitaine U., Recherches historiques et bibliographiques sur les journaux et écrits périodiques liégeois, Liège, 1850, p. 275-281 et les corrections dans Recherches sur l'introduction de l'imprimerie dans les localités dépendant de l'ancienne principauté de Liège [...], Bruxelles, 1867, p. 30-35 et 82-91 ; – Hanotte M., Journaux et journalistes liégeois au temps de l'heureuse révolution, sous presse.

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