LE PATRIOTE ANGEVIN

1108
1789

Titre(s)

Le Patriote angevin.

Dates, périodicité, privilège(s), approbation(s)

Un seul numéro conservé, de 24 p. in-8°, 117 x 195, pour mars 1789 (n° III); consacré à la préparation des Etats généraux; publié sans doute à Angers.

Localisation(s), collections connues, exemplaires rares

B.L., 911 c 11 (n° 21).

Bibliographie

Rétat P., Les Journaux de 1789. Bibliographie critique, Paris, C.N.R.S., 1988, n° 308.

Auteur

Titre indexé

PATRIOTE ANGEVIN

Date indexée

1789

LE PAPILLON ANGLAIS

1103
1757

Bibliographie

Signalé par la gazette d'Amsterdam du 15 juillet 1757: à Amsterdam, chez Schauring. Non retrouvé.

Auteur

Additif

Titre(s): Annonce répétée dans la Gazette d’Amsterdam le 29 juillet 1757: «On distribue actuellement chez Théodore Schuuring, libraire à Amsterdam, une feuille intitulée: Le Papillon anglais, ouvrage périodique. On la trouve aussi chez les principaux libraires des autres villes des Provinces-unies et de l’Europe. Le prix est de 2 sols, argent d’Hollande».

Titre indexé

PAPILLON ANGLAIS

Date indexée

1757

PALLAS GUERRIÈRE ET SAVANTE

1101
1742

Titre(s)

Pallas guerrière et savante, signalé par la gazette d'Amsterdam en 1742; non retrouvé.

Auteur

Additif

Titre(s): Annonce de la Gazette dAmsterdam du 11 septembre 1742: «Johnson, libraire à Rotterdam et à La Haye, commença vendredi 7ème de septembre à débiter une feuille périodique, dont l’Auteur se propose de recueillir, outre les principales nouvelles sur les affaires du temps et les divers mémoires de politique, les plus excellents morceaux d’éloquence et de poésie qu’il pourra recouvrer. Cette feuille, qui est d’un style assez vif, paraîtra tous les mardis et vendredis avant midi, et pourra être donnée le lundi et le jeudi au soir pour ceux qui ont intérêt de l’avoir ces jours-là. Le titre est Pallas guerrière et savante». Voir L’Écho de la vérité de Constantin de Magny (D.P. 1, n° 357).

Titre(s) : Pallas guerriere et savante.Suivi de L’Écho de la vérité « par l’Auteur de Pallas guerriere et savante » : « Changement de libraire, changement de titre, même auteur, même plan et, comme je l’espère, mêmes lecteurs » selon la « Façon de Préface, pour servir d’Introduction à cet Ouvrage » (p. 1). Ces deux périodiques n’en forment en réalité qu’un seul comme le montre l’exemplaire de Pallas guerriere récemment découvert.

Dates, périodicité, privilège(s), approbation(s) : Septembre-décembre 1742. Le premier numéro de Pallas guerrière n’est pas daté, mais le n° 2, venant le mardi suivant, est daté du mardi 11 septembre [1742] ; le n° 13 et dernier est daté du vendredi19 octobre ; l’Écho de la vérité prend immédiatement la suite, avec un n°1 daté du mardi 23 octobre ; le n° 14 et dernier est daté du 7 décembre, et comporte le mot « Fin » en colophon. Périodicité annoncée et suivie, bi-hebdomadaire, le mardi et le vendredi. Les numéros 7 et 8 de l’Écho manquent.

Description de la collection : Pallas guerrièrecompte 200 p. et l’Écho de la vérité, qui lui succède avecpagination continue en compte 220 (de la page201 à la page 420). Chaque numéro compte 16 pages. Les cahiers se succèdent (N en fin de Pallas, O en début del’Écho), vraisemblablement chez le même imprimeur. Devise de Pallas : « Omnis in rebus, similitudo est Mater Satietatis. Cicer. De Invent. C.IV. »

Édition(s), abonnement(s), souscription(s), tirage(s) : Pallas est imprimé par Alexandre Johnson à La Haie etl’Écho Par Antoine Van Dole également à La Haie ; mais l’annonce du changement, publiée dans le n° 2, du 23 octobre, s’accompagne d’une listede sept diffuseurs, à Amsterdam, Utrecht, Gouda, Rotterdam, Delft, Leyde « et dans les villes plus éloignées ». Cette recherche d’une diffusion large est peut-être la raison du changement de libraire.

Fondateur(s), directeur(s), collaborateur(s), contributeur(s) : Claude François CONSTANTIN DE MAGNY (1692-1764).

Contenu, rubriques, centres d’intérêt, tables : Contenu annoncé dans le n° 1 de Pallas : le journal parle de tout et annonce surtout la variété, il s’inscrit sous le signe de Pallas, « symbole de bon sens et des beaux arts » (p. 5), mais les nouvelles, les contes en vers ou en prose seront empruntés à des gazettes et journaux divers, avec une préférence pour la presse anglaise… » (p. 9) : « J’adopterai tout ce que je trouverai dans les papiers anglais de plus digne d’être lu en terre ferme … ». Le ton est celui d’un « spectateur », qui suit l’humeur du moment ; mais le contenu est très variable : suite de nouvelles militaires et diplomatiques(siège de Prague, invasion de la Savoie, incident diplomatique à Londres) ou de mercures français pour les contes, nouvelles et petits vers.

Localisation(s), collections connues, exemplaires rares : Collection étudiée : National Library of the Netherlands, Bibliothèque nationale.

Bibliographie : Mentions dansla Gazette d’Amsterdam du 11 septembre et du 23 octobre 1742. Réédition dans les Œuvres diversesde Constantin de Magny en 1748

Historique : L’Écho s’annonce comme plus littéraire que Pallas, qui se voulait « guerrière » (p. 67), donc plus proche d’une gazette. Mais les différences entre les deux feuilles sont minimes ; la seconde renvoie parfoisà la première, et un trait stylistique les unit : le bon sens, le mépris de l’érudition « à contre emploi » (p. 67), du bel esprit, de l’esprit « conjectural » dans les nouvelles militaires, des nouvelles hasardeuses (p. 213) et des « questions de caffé » (p. 188); l’auteur ne veut pas être confondu avec les « faiseurs de galimatias » (n° 13), avec les « regrattiers du nouvellisme » (p. 117) . Toutefois, son mérite réside surtout dans le choix des articles qu’il reproduit ou qu’il traduit : « L’Écho, comme un perroquet, ne dit rien de lui-même, il ne fait que répéter » (p. 247). On constate d’ailleurs que dans les dernières feuilles du journal, les contes et nouvelles ainsi que les petits vers envahissent de plus en plus la feuille ; un seul numéro fait exception à cette fadeur, le n° 4 de l’Écho, consacré presque en totalité à des « pensées » sur les bibliothèques publiques à Paris(p. 252 et suiv.). Constantin de Magny a cherché à fondre en un seul périodique les gazettes, les mercures et les spectateurs, apparemment sans succès. Ce besoin de synthèse des genres se fait sentir dans les années 1740. Déjà Prévost avait tenté avec le Pour et Contre de créer un spectateur savant ; Constantin s’en inspire en puisant dans le répertoire anglais et en mêlant les nouvelles historiques et les nouvelles littéraires. Il semble s’inspirer surtout du Philanthrope d’Élie Bertrand (1738-1739), son compatriote (voir la notice de François Moureau, n° 1119).

Auteur additif

Titre indexé

PALLAS GUERRIÈRE ET SAVANTE

Date indexée

1742

ŒUVRES MÊLÉES

1094
1751

Titre(s)

Œuvres mêlées ou Discours historiques, politiques, moraux, littéraires et critiques, amusement périodique. Voir Amusement périodique (1751).

Bibliographie

Cette revue mensuelle de F.X. Oliveyra est citée par T. Birch dans une lettre du 12 octobre 1751 (B.L., add. mss. 35398, f° 41). Non retrouvée.

Auteur

Titre indexé

ŒUVRES MÊLÉES

Date indexée

1751

OBSERVATIONS SUR LES MALADIES

1093
1768
1784

Historique

Les Observations sur les maladies régnantes à Lyon ont été publiées à Lyon par Aimé de La Roche vers 1778 ?-1779 ?: un n° 25, de 4 p. in-4°, daté de 1779, était conservé à la B.M. de Lyon (cote 138658). Ce numéro, relié avec la Pharmacopée lyonnaise de L. Vitet, a disparu en 1984. D'après J.E. Dezeuneris (Dictionnaire historique de la médecine, t. IV), ce journal rédigé par Louis VITET (voir D.P. 2), avec la collaboration de Petitin, aurait paru de 1768 à 1784.

Auteur

Additif

Titre(s): Observations sur les maladies régnantes à Lyon, (par deux Médecins). Ce périodique est parfois désigné par le titre Journal des maladies régnantes à Lyon

Dates, périodicité, privilège(s), approbation(s): Novembre 1768-1784, selon le Dictionnaire des sciences médicales de J.E. Dezeimeris (vol. 7, p. 442). Les livraisons qui subsistent ne permettent pas de vérifier que les Observations ont effectivement paru entre ces deux dates. Il se pourrait bien que ce périodique soit né en novembre 1778 et non dix ans plus tôt; en effet, Petetin n’a pas exercé à Lyon avant 1773. Le n°1 porte la mention «Permis d’imprimer le 21 novembre 1778. La date de 1784 est quant à elle confirmée par E. Pariset dans sa notice sur Vitet. Signé, De Royer». Parution hebdomadaire, du moins en 1778-1779.

Description de la collection: Chaque livraison est composée d’une page recto verso, 26 x 20 cm, sur deux colonnes.

Edition(s), abonnement(s), souscription(s), tirage(s): A Lyon, chez Aimé de la Roche, aux Halles.

Fondateur(s), directeur(s), collaborateur(s), contributeur(s): Louis Vitet (1736-1809) et Jacques-Henri-Désiré Petetin (1744-1808). «Vitet et Petetin publièrent en commun, sous le titre de Journal des maladies régnantes à Lyon une suite d’observations, ou plutôt un véritable traité de médecine clinique. […] Il eut un succès prodigieux dans le monde savant. Le célèbre Tissot, de Lausanne, alors professeur à l’université de Pavie, en fit le texte de ses leçons. A Lyon, il excita les clameurs de l’envie de et de la médiocrité.» (Aimé Martin, Eloge historique de J.H. Désiré Petetin, Lyon, Ballanche, 1808).

Contenu, rubriques, centres d’intérêt, tables: Chaque numéro est composé sur toute la largeur du tiers supérieur de la première page d’un tableau d’observations météorologiques concernant la semaine écoulée, puis, sur deux colonnes, de deux articles de médecine clinique. Chaque fascicule est consacré à la description précise d’un cas pathologique.

Localisation(s), collections connues, exemplaires rares: B.M. Lyon, 113 154 et 311 677bis: cinq numéros pour l’année 1778: n°1 du 22 novembre, n°2 du 29 novembre, n°3 du 5 décembre, n°5 du 19 décembre, n°6 du 26 décembre (dates exactes supposées, les livraisons n’étant pas datées). Un numéro pour 1779: n°23 du 24 avril. Selon D.P. 1, un n° 25 de 1779, de 4 [?] pages, relié à la suite de Pharmacopée de Lyon de Vitet, a disparu de la BML (cotes 104 267, 116 207, 158 204 et 403 070).

La Bibliothèque de l’Université Claude-Bernard Lyon1 possède un volume, pour les années 1782-1784, avec le manuscrit des numéros 4 et 6 (cote SUDOC 042 708 974).

La BIU Santé-Médecine de Paris conserve 29 fascicules numérotés 1 à 29, in-4°, publiés de novembre 1778 à mai 1779 chez De La Roche (cote SUDOC 125 271 190).

Bibliographie: Pariset, Etienne, Notice sur M.L. Vitet, médecin de Lyon, s.l., s.n., 1809. — Le Dictionnaire des sciences médicales (vol. 7, p. 442) signale ce périodique dans la notice de Louis Vitet: Observations sur les maladies régnantes à Lyon, accompagnées d’observations météorologiques, faites en commun avec M. Petetin, journal commencé en novembre 1768, à Lyon, format in-8°, et continué les années suivantes en in-8° jusqu’en 1784 dans la même ville.

Titre indexé

OBSERVATIONS SUR LES MALADIES

Date indexée

1778
1779
1780
1781
1782
1783
1784

L'OBSERVATEUR SUISSE DANS L'ALLEMAGNE ET DANS LE NORD

1084
1774

Bibliographie

Prospectus publié dans la Gazette des Deux-Ponts de 1774, n° 17, p. 135. Non retrouvé.

Auteur

Additif

Bibliographie: Le Journal politique, ou Gazette des gazettes de mars 1774 donne dans ses nouvelles littéraires un extrait de ce journal: «On lit dans un ouvrage périodique intitulé l’Observateur suisse dans l’Allemagne et dans le Nord, le trait suivant sur quelques états septentrionaux...» Suivent des observations sur la Russie et Saint-Pétersbourg, sur la Suède et sur la Pologne.

Auteur additif

Titre indexé

OBSERVATEUR SUISSE DANS L'ALLEMAGNE ET DANS LE NORD

Date indexée

1774

L'OBSERVATEUR LITTÉRAIRE, HISTORIQUE, PHILOSOPHIQUE

1082
1738

Historique

Cette revue est annoncée par les Lettres d'un sauvage dépaysé dans les nouvelles littéraires (Lettre XXI, p. 161 et suiv.) : «Amsterdam du vendredi 31 janvier 1738 : Jean François Jolly, libraire à Amsterdam dans le Pyl Steeg, donnera deux fois par semaine, à commencer du 6 février prochain : l'Observateur littéraire, historique, philosophique, politique, galant, moral et critique». Non retrouvé.

Auteur

Titre indexé

OBSERVATEUR LITTÉRAIRE, HISTORIQUE, PHILOSOPHIQUE

Date indexée

1738

L'OBSERVATEUR HOLLANDAIS À PARIS *

1079
1773 ?

Historique

En début de L'Observateur anglais, ou Correspondance secrète, Pidansat de Mairobert publie le prospectus de L'Observateur hollandais à Paris, journal qu'il aurait entrepris à la fin de 1773, et qui aurait été arrêté par les soins du ministère (Observateur anglais, Londres, Adamson, t. I, , p. 9) ; il publie une copie de la Lettre 1, pour donner une idée de l'ouvrage. Au total il publie 6 lettres de L'Observateur hollandais, datées du 1er octobre 1773 au 2 janvier 1774 : sur la crise politique en France, les ministres et le chancelier, les Etats, le Parlement, les princes du sang et la noblesse, le clergé, le Tiers-Etat. Cet Observateur hollandais, qui ne semble pas avoir été édité séparément, aurait constitué une sorte d'ébauche de L'Observateur anglais. Selon les Mémoires secrets (15 juil. 1777), l'auteur aurait repris un projet d'Observateur hollandais à Paris, de J.N. Moreau, qui devait se distribuer périodiquement en 1773.

Auteur

Titre indexé

OBSERVATEUR HOLLANDAIS À PARIS *

Date indexée

1773